Comment j’ai réussi à ne pas aplatir mon mari

  • Conception

    Anne Lopez et François Lopez

  • Musiques

    François Lopez Arthur Kent & Sylvia Dee Nuova Compagnia di Canto Popolare

  • Interprétation

    Eloïse Deschemin Silvia Di Rienzo Anne Lopez François Lopez Alessandro Sabatini

  • Régie et oeil extérieur

    Claudine Bertomeu Diane Peltier

  • Co-productions et accueils en résidence

    Théâtre de Nîmes - scène conventionnée pour la danse contemporaine Institut Emmanuel d'Alzon Nîmes

  • Soutenu par

    DRAC Languedoc Roussillon, Région Languedoc Roussillon, Département de l'Hérault, Ville de Montpellier, la société ACSI 2 et l'Adami

  • Durée

    1h

  • Medias

  • Images
  • Presse

  • Midi Libre
  • La Gazette
  • Let's motiv
  • Midi Loisirs

Dernière représentation
17 Mars 2017, Signes de Printemps, Studio Le Regard du Cygne, Paris
17 Nov 2016, Festival 5jours5nuits, Montpellier
31 Mai 2015, Festival Black Box de Plovdiv (Bulgarie)

Création
24 et 25 Février 2015 – Odéon, Théâtre de Nîmes

Le couple sous toutes ses coutures ! Anne Lopez et François Lopez, frère et sœur dans la vie, entrent en scène au bras de trois comparses pour faire valser le mariage et ses mythes. Après le plateau grandiose de Miracle avec sa cinquantaine d’intervenants, cette nouvelle création signe un retour à l’intime. Ils se sont entourés d’habitués de la compagnie pour continuer à interroger l’« être ensemble ». Scénographie épurée, musique live, dispositif son et lumière ultraléger… Le coup de projecteur en est d’autant plus éblouissant.

Maîtrisant avec facétie les codes du vaudeville, deux couples et une célibataire (celle qui a déjà aplati son mari!) s’en prennent à nos humeurs. En quelques mouvements, quelques mots et une énergie réjouissante, ils déroulent les fils de nos désirs, caricaturent nos lâchetés et nos élans passionnés, mettant aussi à l’honneur les cœurs enclins aux amoures éternelles. Vision kaléidoscopique des sentiments humains, ce spectacle enlevé photographie le quotidien, comme on tourne les pages d’un album de famille inconnue – étrange miroir de notre propre destinée. Elle est hystérique ou résignée, on passe de l’homme parfait à l’homme-objet. Ils s’opposent et s’aimantent, jusqu’à ce qu’en contrepoint au burlesque la part monstrueuse de tout un chacun apparaisse. La réalité vrille, le fantastique prend le dessus, LES GENS DU QUAI restent fidèles à leur humour…